YOU Marcel Pagnol, Le Temps des secrets, 1960. * Soulignez puis corrigez les erreurs sur les terminaisons verbales que ce texte comporte. Julien voyait sa gauch
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alexandreladreyt
Question
YOU
Marcel Pagnol, Le Temps des secrets, 1960.
* Soulignez puis corrigez les erreurs sur les terminaisons verbales que ce
texte comporte.
Julien voyait sa gaucherie ; il avais de l'humeur. Il délibéra longtemps avec lui-même
pour savoir s'il devai se fâché de ce mot : Je vous l'ordonne. Il fut assez sot pour
pensé : « Elle pourrai me dire je l'ordonne, s'il s'agissée de quelque chose de relatif
à l'éducation des enfants ; mais en répondant à mon amour, elle suppose l'égalité.
On ne peut aimait sans égalité... » et tout son esprit se perdit à faire des lieux
communs sur l'égalité. Il se répéter avec colère ce vers de Corneille, que Mme
Derville lui avait appris quelques jours auparavant.
Stendhal, Le Rouge et le noir, 1830. merci de m'aider c gentil
Marcel Pagnol, Le Temps des secrets, 1960.
* Soulignez puis corrigez les erreurs sur les terminaisons verbales que ce
texte comporte.
Julien voyait sa gaucherie ; il avais de l'humeur. Il délibéra longtemps avec lui-même
pour savoir s'il devai se fâché de ce mot : Je vous l'ordonne. Il fut assez sot pour
pensé : « Elle pourrai me dire je l'ordonne, s'il s'agissée de quelque chose de relatif
à l'éducation des enfants ; mais en répondant à mon amour, elle suppose l'égalité.
On ne peut aimait sans égalité... » et tout son esprit se perdit à faire des lieux
communs sur l'égalité. Il se répéter avec colère ce vers de Corneille, que Mme
Derville lui avait appris quelques jours auparavant.
Stendhal, Le Rouge et le noir, 1830. merci de m'aider c gentil
1 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Bonsoir,
Julien voyait sa gaucherie ; il avait de l'humeur. Il délibéra longtemps avec lui-même pour savoir s'il devait se fâcher de ce mot : Je vous l'ordonne. Il fut assez sot pour penser : « Elle pourrait me dire je l'ordonne, s'il s'agissait de quelque chose de relatif à l'éducation des enfants ; mais en répondant à mon amour, elle suppose l'égalité.
On ne peut aimer sans égalité... » et tout son esprit se perdit à faire des lieux
communs sur l'égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que Mme Derville lui avait appris quelques jours auparavant.